.x_Un endroit reposant... Mais pas tant que ça {Libre}_x.

Comme à chaque fois que je veux être au calme, c'est ici que je me rends. Pourtant, l'atmosphère n'y est pas si paisible qu'on le pense. La tention est palpable, et il n'est pas rare d'assister à quelques disputes. Oh, bien sûr, quand on est de "race" différentes, les querelles ce font souvent pour des choses bien insignifiantes. C'est exactement ce qui se passa aujourd'hui ! Ce à quoi je n'aurais pas pensé, c'est que je sois la cible d'une bataille ! C'est si rare qu'on m'embête... Mais bon, je n'allais pas en faire un drame, ça arive à tout le monde...

Après avoir prit un livre d'histoire, j'allais tranquillement m'asseoir à une table vide. Je n'ai pas pour habitude d'affectionner particulièrement la solitude, mais quand je suis dans un endroit censé être "paisible", je préfère profiter de cet état de calme au maximum. Je commençais donc lentement à ouvrir le bouquin, les yeux rêveur, mais j'avais autre chose en tête : il faut dire qu'étudier était quelque chose d'affligeant, je dirais même inutile. Cela pouvait parfois être amusant, ou interessant, mais c'était bien rare...

Alors que j'étais toujours dans ma lecture à demi-attentive, j'entendit un bruit sourd. Je regardais en face de moi : un humain venait de s'asseoir, l'air limite "malfaisant" et un regard de tueur. J'ignorais le tout avec un sourire, me ne me rendant pas compte que ça n'allait pas arranger la situation. Le garçon resta un moment assit, me fixant, sans un mot, puis j'osais alors dire :

"Bonjour !"

Ce n'était pas grand chose, en effet, mais ça suffisait pour engager un début de conversation ! Seulement... Le garçon n'avait apperement pas l'intention de me parler ! Pourquoi utiliser la parole, quand la violence peut vous faire comprendre qu'on n'a pas forcément besoin de votre présence ? Le garçon se leva, s'approcha de moi, et m'attrapa par le col. Il me souleva alors. Moi et mon mètre 65... Je ne pouvais que le laisser faire... C'est donc les oreilles légèrement baissées, dû à l'inquiétude, que j'essaiyais de calmer mon vis à vis :

"S'il vous plait ! Reposez Ai, il ne vous embêtera pas, c'est promis..."

Le garçon ne semblait pourtant pas de cet avis, et après m'avoir giflé, il me laissa tomber à terre. Les gens présents à ce moment là ne firent, et ne dirent rien... Et d'ailleurs, moi non plus ! Ce garçon n'avait sans doute pas agit sans raisons, je ne pouvais donc pas lui en vouloir. Je me contentais donc de me relever doucement. Ma joue me brûlait un peu, elle devait être horriblement rouge, mais je m'en fichais. Je pris mon livre d'histoire, et dans un dernier sourire pour mon vis à vis, je partais vers les rayonnages de bouquins. Je rangeais celui que j'avais en main, et dans un soupir, j'en prenais un autre, mais cette fois, je n'allais pas retourner m'asseoir. Dos contre une des étagères, je me laissais doucement tomber au sol et commençais à feuilleter le bouquin.

Un peu fatiguer, tout se que son agence demandait d'elle l'épuisait, elle prit son bole de céréal, avec son air marabou du matin. Elle en voulait personne, c'était juste que la nuit avait été l'enfer. Versant le lait dans le bol, le téléphone avait sonner. Elle y répondu après avoir déposer le tout sur la table à manger. Elle y répondu avec un maigre bonjours. Oui oui, dit-elle d'un ton tanner. Encore un autre réprensantation. Cependant elle avait tout l'avant-midi à elle. Tranquillement, elle mangea son déjeuner en lisant son roman préférer, ''Ne le dis a personne. De thème policier, sa parlait d'un homme qui avait perdue sa femme. C'était 8 ans plus tard, et on lui avait envoyer email qui avait un lien direct une caméra qui montra sa femme. Puis, en bas du méssage, c'était marquer Ne le dis a personne, on nous surveille. Le livre était du suspense, fesant que le lecteur voulait toujours en savoir plus. À la fin de son petit déjeuner, elle mit du maquillage, puis arrangea ses cheveux pour ensuite s'habiller avec une bandeau, des lunettes de soleil et une belle robe de matinée.

Le soleil brillait à plein éclat et on crevait de chaud, une journée normal d'été. Elle marcha dans la rue en observant les passagants fesant mine de sourire par politesse. Le premier achat qui fallait qu'elle fasse était du meublier. Elle entra dans le magasin, tout se qui se trouvait coutait cher, beaucoup, cependant cette jeune femme en avait de l'argent. Elle acheta son divan et son nouveau lit, puis signa des papiers. Le 7 aout on l'amènera chez elle.

Sorti du magasin d'ameublement, elle continua sa marche jusqu'à la bibliothèque municipale. Son endroit le plus relaxant. Chaque fois elle se sentait tense ou envie de trop de travail, elle prenait un repos et alla ici pour lire un peu en silence. Son regard trop consentrer sur quel livre elle prendra cet fois-ci, elle n'avait pas vue la jambre du jeune neko et s'enfarga. Sous le choc, elle n'avait rien dire et resta a terre sans bouger. Puis elle se retourna pour regarder l'homme. Elle pouvait voir que lui aussi était trop déconsentrer pour la voir. Elle se releva et lui dit:

''sa va, je ne té pas frapper ou fais mal en tombant? J'aurais du regarder où j'allais, pardonner moi si vous plaît.''

Elle fit son sourire habituelle, aussi charmant que tout.